L’Association Blockchain a exprimé des inquiétudes concernant les exigences excessives imposées à l’industrie par le récent changement de règle proposé par l’Internal Revenue Service (IRS). Ces préoccupations découlent du nombre massif de formulaires – plus de 8 milliards – qui seraient nécessaires pour se conformer à la règle, introduisant un poids administratif significatif dépassant les 254 milliards de dollars. Ce coût dépasse largement l’écart estimé de 10 milliards de dollars que la règle vise à combler sur le plan fiscal.
Dans leur déclaration publique, l’Association Blockchain a vigoureusement défendu les droits des courtiers contre des réglementations excessivement contraignantes. Ils ont souligné que la demande de rapports détaillés de la règle est non seulement impraticable mais va également à l’encontre des objectifs de la loi sur la réduction des formalités administratives (PRA). La loi elle-même vise à réduire la collecte excessive d’informations du public par les entités fédérales.
Un responsable de l’Association Blockchain a souligné que la loi vise à protéger les gens des tâches réglementaires inutiles. Cela est particulièrement pertinent lorsque l’association considère que la quantité de paperasse est bien trop importante pour une conformité raisonnable. Ils soutiennent que la règle proposée par l’IRS pour les courtiers ne remplit pas l’exigence de la PRA de limiter l’impact public au strict minimum nécessaire.
La proposition exigeant des données sur les portefeuilles dits « non hébergés », qui pourraient être soumis à un nouvel examen, a été au cœur de controverses pour élargir potentiellement la portée de la surveillance fiscale à un niveau inabordable. Avec ces préoccupations majeures mises sur le devant de la scène, l’industrie cherche à éviter une obligation bureaucratique qui pourrait entraîner des tâches de conformité coûteuses et contraignantes.
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En discutant de la résistance de l’Association Blockchain à la règle proposée par l’IRS, il est important d’explorer diverses questions, défis et controverses sur le sujet, tels que :
Questions importantes :
– Quelles sont les exigences de déclaration spécifiques proposées par l’IRS ?
– Comment l’Association Blockchain propose-t-elle de concilier la conformité réglementaire avec la praticabilité opérationnelle ?
– Que signifie la règle de l’IRS pour la confidentialité et la sécurité des détenteurs individuels de portefeuilles non hébergés ?
Défis clés et controverses :
– Un défi majeur est lié à la faisabilité technique : l’écosystème des cryptomonnaies est vaste et diversifié, ce qui peut rendre la déclaration centralisée difficile et sujette aux erreurs.
– Les préoccupations en matière de confidentialité augmentent également à mesure que les portefeuilles non hébergés (portefeuilles personnels non liés à un échange ou à un intermédiaire) et leurs transactions pourraient devenir moins privés en raison de l’attention accrue.
– Il existe un débat en cours au sein de la communauté financière au sens large concernant la nécessité de ces réglementations par rapport à l’importance d’encourager l’innovation au sein de l’industrie de la blockchain.
Avantages et inconvénients :
– Avantages : Des réglementations améliorées de l’IRS pourraient potentiellement réduire l’évasion fiscale et accroître la transparence sur le marché des cryptomonnaies.
– Inconvénients : Des coûts de conformité excessifs et des charges administratives pourraient étouffer l’innovation et dissuader les entreprises de s’engager avec la technologie de la blockchain.
Pour ceux qui souhaitent obtenir davantage d’informations sur de tels sujets, des ressources expertes comme l’Association Blockchain sont disponibles sur leur domaine principal à l’adresse theblockchainassociation.org, et des informations sur la Loi sur la réduction des formalités administratives et les réglementations de l’IRS peuvent être obtenues auprès de ressources officielles du gouvernement telles que irs.gov.